Messe du vendredi 09 mai 2025
1. Accueil : Dieu nous rassemble
Il s’agit de se rassembler et de se préparer avant d’écouter ensemble la Parole de Dieu.
La messe commence tout d’abord par une procession et un chant.
Avec le prêtre, l’assemblée fait le signe de la croix :
Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit
Amen
Le Seigneur soit avec vous
Et avec votre esprit.
(ou alors : La grâce de Jésus notre Seigneur, l’amour de Dieu le Père et la communion de l’Esprit-Saint soient toujours avec vous. Et avec votre esprit.)
Chaque messe commence par l’humble reconnaissance que nous sommes pécheurs ; nous avons péché et avons besoin d’être sauvés du mal par le pardon de Dieu.
Préparons-nous à la célébration de l’Eucharistie en reconnaissant que nous sommes pécheurs.
Je confesse à Dieu Tout-Puissant,
je reconnais devant vous frères et sœurs,
que j’ai péché, en parole, par action et par omission ;
Oui, j’ai vraiment péché, (ici, nous mettons la main sur le cœur)
c’est pourquoi je supplie la bienheureuse Vierge Marie,
les Anges et tous les Saints,
et vous aussi frères et sœurs,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Que Dieu Tout-Puissant nous fasse miséricorde; qu’il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle. Amen.
Chant du Kyrie (c’est une acclamation adressée au Christ, que l’on chante en français ou en grec)
Français : Seigneur, prends pitié. Seigneur, prends pitié.
Ô Christ, prends pitié. Ô Christ, prends pitié.
Seigneur, prends pitié. Seigneur, prends pitié.
Grec : Kyrie eleison. Kyrie eleison.
Christe eleison. Christe eleison.
Kyrie eleison. Kyrie eleison.
Avec les anges, nous proclamons la Gloire de Dieu, la manifestation de son amour.
Nous ne chantons pas cette hymne antique pendant l’Avent (avant Noël)
ni pendant le Carême (avant Pâques), pour mieux nous préparer à ces grandes fêtes.
Gloire à Dieu au plus haut des cieux
et paix sur la terre aux hommes qu’il aime.
Nous te louons, nous te bénissons, nous t’adorons,
nous te glorifions, nous te rendons grâce, pour ton immense gloire,
Seigneur Dieu, Roi du ciel, Dieu le Père tout-puissant,
Seigneur Fils unique, Jésus-Christ,
Seigneur Dieu, Agneau de Dieu, le Fils du Père,
toi qui enlèves le péché du monde, prends pitié de nous ;
toi qui enlèves le péché du monde, reçois notre prière ;
toi qui es assis à la droite du Père, prends pitié de nous.
Car toi seul es Saint,
toi seul es Seigneur,
toi seul es le Très-Haut : Jésus-Christ,
avec le Saint-Esprit dans la gloire de Dieu le Père.
Amen.
Prions le Seigneur
Après un temps de silence, le prêtre prononce une prière qui change chaque dimanche (ou à chaque fête) et qui rassemble la prière personnelle de chacun :
… pour les siècles des siècles. Amen.
2. Liturgie de la Parole : Dieu nous parle
Lecture d’un passage tiré le plus souvent de l’Ancien Testament.
« Cet homme est l’instrument que j’ai choisi pour faire parvenir mon nom auprès des nations » (Ac 9, 1-20)
Lecture du livre des Actes des Apôtres
En ces jours-là,
Saul était toujours animé d’une rage meurtrière
contre les disciples du Seigneur.
Il alla trouver le grand prêtre
et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas,
afin que, s’il trouvait des hommes et des femmes
qui suivaient le Chemin du Seigneur,
il les amène enchaînés à Jérusalem.
Comme il était en route et approchait de Damas,
soudain une lumière venant du ciel l’enveloppa de sa clarté.
Il fut précipité à terre ; il entendit une voix qui lui disait :
« Saul, Saul,
pourquoi me persécuter ? »
Il demanda :
« Qui es-tu, Seigneur ? »
La voix répondit :
« Je suis Jésus, celui que tu persécutes.
Relève-toi et entre dans la ville :
on te dira ce que tu dois faire. »
Ses compagnons de route s’étaient arrêtés,
muets de stupeur :
ils entendaient la voix,
mais ils ne voyaient personne.
Saul se releva de terre
et, bien qu’il eût les yeux ouverts, il ne voyait rien.
Ils le prirent par la main
pour le faire entrer à Damas.
Pendant trois jours, il fut privé de la vue
et il resta sans manger ni boire.
Or, il y avait à Damas un disciple nommé Ananie.
Dans une vision, le Seigneur lui dit :
« Ananie ! »
Il répondit :
« Me voici, Seigneur. »
Le Seigneur reprit :
« Lève-toi, va dans la rue appelée rue Droite, chez Jude :
tu demanderas un homme de Tarse nommé Saul.
Il est en prière, et il a eu cette vision :
un homme, du nom d’Ananie,
entrait et lui imposait les mains
pour lui rendre la vue. »
Ananie répondit :
« Seigneur, j’ai beaucoup entendu parler de cet homme,
et de tout le mal qu’il a fait subir à tes fidèles à Jérusalem.
Il est ici, après avoir reçu de la part des grands prêtres
le pouvoir d’enchaîner tous ceux qui invoquent ton nom. »
Mais le Seigneur lui dit :
« Va ! car cet homme est l’instrument que j’ai choisi
pour faire parvenir mon nom
auprès des nations, des rois et des fils d’Israël.
Et moi, je lui montrerai
tout ce qu’il lui faudra souffrir pour mon nom. »
Ananie partit donc
et entra dans la maison.
Il imposa les mains à Saul, en disant :
« Saul, mon frère,
celui qui m’a envoyé, c’est le Seigneur,
c’est Jésus qui t’est apparu
sur le chemin par lequel tu venais.
Ainsi, tu vas retrouver la vue,
et tu seras rempli d’Esprit Saint. »
Aussitôt tombèrent de ses yeux comme des écailles,
et il retrouva la vue.
Il se leva, puis il fut baptisé.
Alors il prit de la nourriture et les forces lui revinrent.
Il passa quelques jours à Damas avec les disciples
et, sans plus attendre, il proclamait Jésus dans les synagogues,
affirmant que celui-ci est le Fils de Dieu.
Parole du Seigneur. Nous rendons grâce à Dieu.
Lecture ou chant d’un psaume (prière poétique de supplication ou de louange tirée de l’Ancien Testament).
Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile. ou : Alléluia ! (116 (117), 1, 2)
Louez le Seigneur, tous les peuples ;
fêtez-le, tous les pays !
Son amour envers nous s’est montré le plus fort ;
éternelle est la fidélité du Seigneur !
Lecture d’un passage du Nouveau Testament (souvent une lettre adressée par un apôtre aux premiers chrétiens).
Parole du Seigneur. Nous rendons grâce à Dieu.
Pour accueillir l’Évangile (= bonne nouvelle) de Jésus-Christ, l’assemblée se met debout et chante un chant d’acclamation joyeuse :
Alléluia (= louez Dieu) ! Pendant le Carême, on chante un autre refrain.
Proclamation solennelle d’un passage d’Évangile (écrit par saint Matthieu, saint Marc, saint Luc ou saint Jean)
qui nous expose un moment de la vie de Jésus.
Ce passage est différent chaque jour.
Évangile de Jésus-Christ selon N. Gloire à toi Seigneur.
On trace avec notre pouce une petite croix sur notre front, notre bouche et notre cœur, demandant à Dieu que l’Évangile
pénètre notre intelligence pour nous éclairer, qu’il soit sur nos lèvres pour le proclamer et dans notre cœur
pour nous transformer dans l’amour.
« Ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson » (Jn 6, 52-59)
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
En ce temps-là,
les Juifs se querellaient entre eux :
« Comment celui-là
peut-il nous donner sa chair à manger ? »
Jésus leur dit alors :
« Amen, amen, je vous le dis :
si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme,
et si vous ne buvez pas son sang,
vous n’avez pas la vie en vous.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang
a la vie éternelle ;
et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
En effet, ma chair est la vraie nourriture,
et mon sang est la vraie boisson.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang
demeure en moi,
et moi, je demeure en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé,
et que moi je vis par le Père,
de même celui qui me mange,
lui aussi vivra par moi.
Tel est le pain qui est descendu du ciel :
il n’est pas comme celui que les pères ont mangé.
Eux, ils sont morts ;
celui qui mange ce pain
vivra éternellement. »
Voilà ce que Jésus a dit
alors qu’il enseignait à la synagogue de Capharnaüm.
Acclamons la Parole de Dieu. Louange à toi Seigneur Jésus
Le célébrant s’adresse à l’assemblée.
Il nous aide à mieux saisir comment Dieu nous parle aujourd’hui à travers les lectures et comment Dieu nous invite à le suivre dans notre vie concrète.
Nourrie par les lectures et la méditation, l’assemblée se met debout et répond à Dieu en professant la foi
chrétienne. Le « credo » (= « je crois ») est un résumé de la foi catholique.
Il existe deux énoncés possibles.
Symbole de Nicée-Constantinople (IVe siècle)
Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant,
créateur du ciel et de la terre, de l’univers visible et invisible,
Je crois en un seul Seigneur, Jésus Christ, le Fils unique de Dieu,
né du Père avant tous les siècles : Il est Dieu, né de Dieu, lumière,
née de la lumière, vrai Dieu, né du vrai Dieu, Engendré non pas créé,
consubstantiel au Père ; et par lui tout a été fait.
Pour nous les hommes, et pour notre salut, il descendit du ciel ;
[Pour la phrase suivante, on peut s’incliner]
Par l’Esprit Saint, il a pris chair de la Vierge Marie, et s’est fait homme.
Crucifié pour nous sous Ponce Pilate,
Il souffrit sa passion et fut mis au tombeau.
Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Écritures,
et il monta au ciel; il est assis à la droite du Père.
Il reviendra dans la gloire, pour juger les vivants
et les morts et son règne n’aura pas de fin.
Je crois en l’Esprit Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie ;
il procède du Père et du Fils.
Avec le Père et le Fils, il reçoit même adoration et même gloire ;
il a parlé par les prophètes.
Je crois en l’Église, une, sainte, catholique et apostolique.
Je reconnais un seul baptême pour le pardon des péchés.
J’attends la résurrection des morts, et la vie du monde à venir. Amen.
Ou
Symbole des apôtres
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre.
Et en Jésus Christ, son Fils unique, notre Seigneur ; qui a été conçu
du Saint Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate,
a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers;
le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis
à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d’où il viendra juger les vivants
et les morts. Je crois en l’Esprit Saint, à la sainte Église catholique,
à la communion des saints, à la rémission des péchés,
à la résurrection de la chair, à la vie éternelle. Amen.
C’est le moment où nous élargissons notre prière aux dimensions de l’Église, du monde, des personnes
qui souffrent, de la communauté rassemblée…
3. Liturgie eucharistique : Dieu se donne
Eucharistie signifie « action de grâce ».
C’est le cœur de la messe : Jésus, vrai homme et vrai Dieu, fait alliance avec nous. Jésus s’offre à Dieu le Père et nous entraîne avec lui dans ce don. Il se rend présent au milieu de nous dans le pain et le vin consacrés.
En apportant le pain et le vin sur l’autel, nous présentons à Dieu ce que nous sommes, ce qui constitue nos vies :
nos activités, nos relations, nos joies, nos peines, nos peurs, nos questions, nos désirs…
C’est aussi le moment de la quête. En offrant concrètement une somme d’argent, nous exprimons à Dieu notre gratitude.
Tu es béni Seigneur, Dieu de l’univers, nous avons reçu de ta bonté ce pain…
Béni soit Dieu maintenant et toujours.
Tu es béni Seigneur, Dieu de l’univers, nous avons reçu de ta bonté ce vin…
Béni soit Dieu maintenant et toujours.
Priez, frères et sœurs : que mon sacrifice qui est aussi le vôtre,
soit agréable à Dieu, le Père tout-puissant.
Que le Seigneur reçoive de vos mains ce sacrifice, à la louange
et à la gloire de son nom, pour notre bien et celui de toute l’Église.
Le prêtre dit alors une prière différente chaque dimanche :
… pour les siècles des siècles Amen.
La prière qui suit (préface) fait alors mémoire des merveilles de Dieu et invite à la louange.
Le Seigneur soit avec vous Et avec votre esprit.
Élevons notre cœur. Nous le tournons vers le Seigneur.
Rendons grâce au Seigneur notre Dieu. Cela est juste et bon.
Vraiment il est juste et bon…
Il s’agit d’une acclamation pour proclamer la grandeur de Dieu.
Français :
Saint, Saint, Saint le Seigneur, Dieu de l’Univers,
Le ciel et la terre sont remplis de ta gloire,
Hosanna au plus haut des cieux,
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur,
Hosanna au plus haut des cieux.
Latin :
Sanctus, Sanctus, Sanctus Dominus Deus Sabaoth,
Pleni sunt cæli et terra gloria tua,
Hosanna in excelsis
Benedictus qui venit in nomine Domini,
Hosanna in excelsis.
C’est le moment le plus important de la messe.
Jésus s’offre à Dieu son Père pour nous sauver.
Le prêtre prononce les paroles de Jésus et refait les gestes de son dernier repas avec ses discipes (sainte Cène).
Nous croyons que le pain et le vin deviennent à ce moment le Corps
et le sang du Christ. C’est comme si nous étions présents avec les disciples.
« Prenez et mangez-en tous, ceci est mon corps livré pour vous »
« Prenez et buvez-en tous, car ceci est la coupe de mon sang, le sang de l’Alliance nouvelle et éternelle, qui sera versé pour vous
et pour la multitude, en rémission des péchés. Vous ferez cela en mémoire de moi »
Cette acclamation fait mémoire du cœur de notre foi : la mort et la résurrection de Jésus-Christ.
Acclamations possibles :
Proclamons le mystère de la foi
Gloire à toi qui étais mort, gloire à toi qui es vivant, notre sauveur et notre Dieu, viens Seigneur Jésus.
ou
Il est grand le mystère de la foi
Nous annonçons ta mort, Seigneur Jésus,
Nous proclamons ta résurrection, Nous attendons ta venue
dans la gloire.
La grande prière d’action de grâce et d’intercession
(pour l’Église, pour le monde, pour les défunts, pour l’assemblée)
s’achève par ces mots :
Par lui, avec lui et en lui, à toi, Dieu le Père tout-puissant,
dans l’unité du Saint-Esprit, tout honneur et toute gloire, pour les siècles des siècles Amen.
Comme nous l’avons appris du Sauveur, et selon son commandement,
nous osons dire :
Français :
Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui
notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi
à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du mal.
Latin :
Pater noster, qui es in caelis, sanctificetur nomen tuum ; adveniat regnum tuum
; fiat voluntas tua sicut in caelo et in terra.
Panem nostrum quotidianum da nobis hodie, et dimitte nobis debita nostra,
sicut et nos dimittimus debitoribus nostris, et ne nos inducas in tentationem sed
libera nos a malo.
Délivre-nous de tout mal Seigneur…
Car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire
pour les siècles des siècles. Amen
Le prêtre dit une prière pour implorer le don de la paix pour toute l’humanité.
…pour les siècles des siècles Amen.
Que la paix du Seigneur soit toujours avec vous Et avec votre esprit.
Le prêtre peut nous inviter à échanger un geste de paix.
On peut se tourner vers ses voisins en disant simplement : La paix du Christ !
Pendant que le prêtre rompt le Corps du Christ (pain consacré), l’assemblée chante :
Français:
Agneau de Dieu qui enlèves les péchés du monde, Prends pitié de nous, (2 fois)
Agneau de Dieu qui enlèves les péchés du monde, Donne-nous la paix.
Latin :
Agnus Dei qui tollis peccata mundi, Miserere nobis, (2 fois)
Agnus Dei qui tollis peccata mundi, Dona nobis pacem.
Voici l’Agneau de Dieu, voici celui qui enlève les péchés du monde.
Heureux les invités au repas des noces de l’Agneau !
Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole
et je serai guéri.
En prononçant ces mots, en signe d’humilité et de repentir, on peut se frapper la poitrine.
Lors de la communion eucharistique, Jésus se donne à nous pour que nous puissions aimer comme lui.
Puis-je recevoir le corps du Christ (Hostie) ?
Les personnes qui ne sont pas baptisées, ou qui n’ont pas fait leur « première communion », ou celles qui ne sont pas aujourd’hui prêtes à recevoir l’hostie (parce qu’elles n’ont pas reçu le pardon de Dieu), peuvent s’avancer les bras croisés sur les épaules
pour recevoir la bénédiction (on peut répondre : Amen.)
Les fidèles baptisés et préparés peuvent s’avancer en procession pour recevoir le Corps du Christ (hostie)
– soit dans les mains (tendues bien hautes et bien ouvertes)
– soit directement sur la langue en ouvrant la bouche.
Le prêtre dit alors :
Le Corps du Christ.
Amen.
Puis chacun rejoint sa place pour un temps de prière silencieuse(cœur-à-cœur avec le Christ).
Saint Cyrille de Jérusalem (Vème siècle) disait : « Fais de ta main gauche un trône pour ta main droite, puisque celle-ci doit recevoir le Roi. »
4. Liturgie de l'envoi : Dieu nous envoie témoigner
Le prêtre dit une prière qui change à chaque messe.
Prions le Seigneur … pour les siècles des siècles Amen.
Chaque semaine, les paroisses proposent des activités, des événements, qui sont annoncés à la fin de la messe.
Le prêtre bénit l’assemblée.
Le Seigneur soit avec vous
Et avec votre esprit.
Que Dieu tout-puissant vous bénisse le Père et le Fils et le Saint-Esprit
Amen.
(On trace sur soi le signe de la croix en même temps que le prêtre dit la bénédiction)
Le prêtre nous envoie témoigner de l’Amour de Dieu.
Allez dans la paix du Christ.
Nous rendons grâce à Dieu.
