

La dette publique élevée de Djibouti (60 à 70 % du PIB) accentue les inégalités sociales déjà présentes : plus de 70 % des jeunes sont au chômage, la pauvreté reste importante et la sécurité alimentaire est fragile à cause de la sécheresse et de la dépendance aux importations. Dans ce contexte, le quotidien des Djiboutiens reste marqué par des difficultés d’accès aux services de base, comme l’eau potable, la santé ou l’éducation. Si le taux de scolarisation est en progrès constant depuis quelques années, nombreux sont les enfants qui reste en dehors du système éducatif.


